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 Entrevue avec Andy du tennis magazine!

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Zazou
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MessageSujet: Entrevue avec Andy du tennis magazine!   Entrevue avec Andy du tennis magazine! Icon_minitimeMer 29 Juin 2005 - 0:47

Voilà une partie de l'entrevue avec Andy du tennis mag de juillet, je n'ai pas tout écrit, ça ne me tentait pas de tapper du bla bla inutile sur les commenditaires Wink Je suis désolée si il y a des fautes de frappes! Wink

............

Dans une ville - Paris - qu'il apprécie un peu plus chaque année, et même s'il joue, commercialement, pour des couleurs françaises, Andy Roddick, incontestablement l'un des plus hardis ''top guns''' du circuit, n'a pas encore touché sa cible. Que ce soit à Bercy ou à Roland Garros (où il vient d'être battu au 2e tour), l'Américain n'a pas encore trouvé sur les différentes scènes Parisiennes l'occasion d'exposer son talent. Celui-ci ''explose'' pourtant presque partout ailleurs. Sur le front du Grand Chelem, l'US Open 2003 fut son premier titre majeur, et il reste le seul aujourd'hui. A Wimbledon, après une demi-finale en 2003, il avait l'an dernier en finale, muselé le génie de Roger Federer avant que la pluie ne permettre au champion suisse de trouver la parade pour échapper à la mitraille adverse. Seulement âgé de 22 ans - d'un an le cadet de Federer - Andy Roddick a encore toute sa marge de progression devant lui, même s'il a déjà décroché (fin 2003 et pour 13 semaines) la place de #1 mondial. Après avoir été ''éduqué'' à ses débuts professionnels par Tarik Benhabilès, puis accompagné par Brad Gilbert, Roddick est associé depuis cette année à un autre entraîneur Américain, Dean Goldfine. Nouveau coach, nouveau programme de travail. L'heure idéale pour faire le point avec Andy de ses nouvelles ambitions. Et notamment celle, comme il nous l'a exposé dans le confert douillet d'un palace situé près de la place Vendôme, de se doter d'un physique à la hauteur de son énergie débordante qui a déjà fait de lui le serveur le plus rapide du monde.


Tennis Magazine: Andy, comment jugez-vous votre première partie de saison?

Andy Roddick: Elle a été très correcte, je crois. Dans la grande majorité des tournois que j'ai joués, je suis allé loin. Et si je ne m'étais pas blessé à Memphis et à Miami, je serais parfaitement satisfait de mes résultats.

TM: Comment vous sentez-vous en Europe, au fil des années?

AR: Je m'y sens de mieux en mieux, à vrai dire. Au début, quand on est très jeune et que l'on doit passer autant de temps loin de chez soi, loin de son pays, où tout est totalement différent c'est un peu effrayant, et c'est normal, non? Maintenant, j'apprécie ces séjours ici, beaucoup plus qu'avant en tout cas.


TM: Vous portez très bien le veston-cravate, on le voit à l'occasion des Masters Cup, par exemple...

AR: Oui, mais si vouv voulez que je mette ça, il faut m'apporter les vêtements, car, moi, je ne les ai pas! (rire). Non, mais en fait, j'ai de plus en plus d'occasions de m'habiller ainsi : à la Masters Cup, ou encore en Coupe Davis ou dans les manifestations concernant ma fondation. C'est okay pour moi.

TM: Votre maman, Blanche, a un prénom français. Connaissez-vous quelque chose de ses éventuelles origines françaises?

AR: Non, car c'était il y a bien longtemps. Nous sommes tous nés aux États-Unis depuis des générations. Mais cela dit, mes parents adorent la France. Et d'ailleurs, le seul endroit ou il m'accompagne en dehors des États-Unis, c'est ici, à Paris.

TM: Nous parlons beaucoup de France alors que Paris n'est pas un endroit très hospitalier pour votre tennis. Vous n'êtes jamais allé au-delà du 3e tour à Roland Garros et vous n'avez atteint qu'une fois les demi-finales en 4 participations à Bercy. C'est tout de même de dessous de la moyenne de vos performances ailleurs, non?


AR: Je ne vois en tout cas aucune raison à cela. Ce sont des coïncidences. Et puis, j'ai aussi de bons souvenirs à Paris. Par exemple, la première fois que je suis devenu #1, c'était à Bercy, il y a 2 ans. C'est quand même une date, non? Par ailleurs, j'adore l'atmosphère des deux tournois Parisiens. J'apprécie même de plus en plus.

TM: À Roland Garros, la terre battue ne met pas en valeur votre tennis. Pourtant, vous venez de gagner Houston sur une terre battue Européenne spécialement installée...


AR: Ce n'est pas tellement la surface qui compte, en la circonstance, mais les balles. À Houston, on joue avec des Wilson. Elles sont beaucoup plus vives que celles qui sont utilisées à Roland Garros. Plus légères, plus bondissantes, c'est parfait pour moi. Les gens font tout un plat de mon jeu sur terre battue. Mais je peux bien jouer sur terre. Évidemment, quand on joue à Hambourg avec une terre lourde et humide par moins de 10 degrés, ce n'est pas fait pour m'aider. Mais de toute façon, j'adore ce défi.

TM: Le grand changement pour vous en fin de saison dernière a été le remplacement de votre coach Brad Gilbert par Dean Goldfine. Quand et pourquoi exactement avez-vous pris cette décision, quand l'avez-vous annoncé à Brad et quelle a été sa réaction?


AR: Bien sûr, cela n'a pas été une décision facile à prendre. C'était en décembre. J'avais dans l'idée de bien m'entraîner pendant ces semaines-là. C'était compliqué car Brad, à cette période, préférait rester chez lui. Moi je voulais rester chez moi. Et on habite loin l'un de l'autre... Brad connait très bien le jeu. Mais j'avais envie de travailler d'avantage, et spécialement hors du court, la condition physique, tout ça... Quand j'ai annoncé ça à Brad il a été surpris. Mais j'étais en face de lui et il voyait bien que je lui parlais honnêtement. Je ne me souciais d'ailleurs pas trop de sa réaction, s'il avait piqué une crise, cela n'aurait rien changé, car ma décisionn était prise.

TM: Mats Wilander a notamment écrit, en substance, que techniquement, Brad ne pouvait pas vous apporter grand chose. Qu'en pensez-vous? Estimez-vous avoir aujourd'hui besoin de technique plus que de tactique ou l'inverse?

AR: Il me semble difficile de changer des coups qu'on a l'habitude de frapper depuis une quinzaine d'années. Mats a baucoup écrit sur moi, et il n'y a pas eu grand chose de positif. Vu l'immense joueur qu'il a été, je dois respecter son opinion. Mais d'un autre côté, il m'apparaît bien difficile de juger quand on est, comme lui, éloigné des réalités du circuit, quand on voit un match tous les 3 mois, on devrait réfléchir avant de parler.

TM: Et maintenant, quelles sont les priorités que vous vous êtes fixées avec Dean?

AR: Nous avons planifiém une augmentation de ma charge de travail, à la fois sur le court et hors du court. Je voudrais devenir plus affûté physiquement. J'ai compris que c'était fondamental et que c'était tout un processus. Dean et moi nous entendons très bien, nous avons l'un et l'autre beaucoup d'ambitions. Very Happy

TM: Depuis quand connaissez-vous Dean exactement?


AR: Depuis que j'ai 16 ou 17 ans. L'an dernier, il était coach assistant en Coupe Davis et il accompagnait aussi notre équipe aux Jeux Olympiques. À cette époque, nous n'avons jamais parlé, lui et moi, d'un éventuel coaching, puisque j'avais déjà mon coach. Mais j'avias vu qu'on s'entendait très bien et lorsque j'ai décidé de changer, c'est naturellement vers lui que je me suis tourné.

TM: L'une de vos décisions en fin de saison dernière était de travailler physiquement pendant l'inter saison. L'avez-vous fait?

AR: Oui, absolument. Beaucoup de travail sur le court mais aussi du footing, des sprints et de la musculation. En gros, maintenant, durant les périodes ou je suis à la maison, c'est deux heures et demie sur le court le matin et deux heures et demie pour la condition physique l'après-midi. Après ça, croyez-moi, je dors bien! thumright

TM: Vous avez perdu contre Lleyton en Australie et au Masters Cup. Y-a-t-il quelque chose qui vous gêne particulièrement dans le jeu de Lleyton?

AR: Je ne suis pas le seul à voir des difficultés avec lui! Lors ne nos derniers matchs, il a tout simplement été très bon. Il a mieux joué que moi les points importants. Rien de très étonnant à ça. C'est le compétiteur que tout le monde connaît, il a été #1 et a gagné des tournois du Grand Chelem, ce n'est pas un hasard... Mais ce ne sont pas ces défaites qui vont me décourager, j'ai confiance de pouvoir tourner les choses en ma faveur. Very Happy


Dernière édition par le Mer 29 Juin 2005 - 0:48, édité 1 fois
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Zazou
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MessageSujet: Re: Entrevue avec Andy du tennis magazine!   Entrevue avec Andy du tennis magazine! Icon_minitimeMer 29 Juin 2005 - 0:47

TM: Pour revenir sur votre formidable finale de Wimbledon l'an passé contre Federer, que gardez-vous de ce match? Le sentiment de devoir ''oublier'' ou bien celui d'en extraire toutes les leçons possibles?

AR: Sans doute. Avant la pluie, Roger avait un peu de mal. On n'a pas l'habitude de voir Roger paniquer, mais là il ne pouvait pas entrer dans le match. Il a pourtant réussi à se rétablir, à breaker et après il est devenu un autre joueur. C'est à des choses comme ça qu'on voit le champion. Quand à moi, je dois d'abbord m'appuyer sur mes forces pour l'affronter. Et je pense effectivement avoir la capacité à frapper la balle très fort. C'est ce que je dois faire, spécialement sur gazon et spécialement contre Federer.

TM: Dans la vie courante, tous vos amis vous décrivent comme le contraire de cette image agressive que vous donnez sur le court. Ressentez-vous cette grande différence vous même?

AR: Oui, bien sûr... Je dis souvent que, sur le court, je suis com père et qu'en dehors, je suis ma mère (rire). Non, très sérieusement, je n'en suis pas si sûr. C'est d'ailleurs difficile à expliquer. J'ai toujours pris le tennis très au sérieux. Et pour le reste, dans la vie courante, rien ne me paraît tellement important, en tous cas pas problématique. Je ne me prends justement pas au sérieux. Après tout, c'est comme tout le monde je pense. Au travail, on prend les choses sérieusement. Et quand on rentre à la maison, on fait des blagues, on se détend, voilà...

TM: Pensez-vous que Wimbledon est pour vous la meilleure probabilité de remporter votre prochain titre du Grand Chelem?

AR: Il est sûr que je me sens très confiant sur le gazon. Je n'y ai perdu que 2 matchs ces deux dernières années, et à chaque fois contre Federer : en demi-finales en 2003 et en finale en 2004. En tout cas, je me classe moi-même parmis les favoris pour remporte le titre. Mr.Red

TM: Vous allez aussi tentez la passe de trois au Queens. Encore contre Sébastien Grosjean?


AR: Oui, j'ai été très dur avec lui! (rire) Et c'est bien dommage car j'aime beaucoup Sébastien. Mais après tout, il m,avais battu en Coup Davis à Paris, alors je me venge...

TM: Vous vous êtes blessé récemment. AU poignet, à Miami. Au genou en fin de saison dernière. Avez-vous fait monter la prévention des blessures dans l'échelle de vos priorités?


AR: Absolument. C'est la grande affaire pour nous tous. Regardez les programmes de tous les joueurs. Il est tellement chargé, intense. Onze mois sur douze. Pas vraiment d'inter saison. On voit de plus en plus de gars se retirer des tournois. Les meilleurs sont très souvent blessés. Normal: ils disputent de 80 à 90 matchs par an. La seule façon de se prémunir, c'est le travail préventif. C'est la raison pour laquelle Doug Spreen, mon kiné, me uit quasiment partout sur le circuit. Pour un travail au quotidien absolument indispensable. Beaucoup de streching évidemment. Ça parait rébarbatif, mais après tout, avec le kiné sur place, on peut faire ça presque assis dans sa chambre, ce n'est pas si contraignant.

TM: À propos de la Coupe Davis, comment classez-vous la finale à Séville parmi vos souvenirs?


AR: parmi les choses très, très étranges, folles mêmes. PLus folle que tout ce que j'avais vu précédemment.

TM: Vous aviez déjà un peu dit cela après la défaite des États-Unis en demi-finales à Roland Garros il y a trois ans?


AR: Oui, mais la différence, c'est qu'à Séville, vous pouviez ajouter douze ou treize mille personnes de plus! (rire) C'est sympa d'imaginer que dans trente ans, je pourrai montrer une cassette de cette rencontre à mes enfants. En tout cas, c'était une finale très excitante et nousa vons tous pris beaucoup de plaisir à la jouer. Et nous avons même apprécié la passion du public.

TM: Vous en rêvez, d'un pareil public aux États-Unis?


AR: Oh, oui! Mais chez nous d'autres grands sports accaparent l'attention. Ce que nous devons faire, en tennis, pour attirer les fans, c'est d'abord gagner. C'est pourquoi, concernant cette popularité du tennis aux États-Unis, je ressens une grande responsabilité sur mes épaules. Je dois faire le maximum. En jouant, en aidant à promouvoir le jeu... C'est presque un ''deuxième boulot'' (rire). En fait, c'est à nous, les joueurs, d'améliorer la situation...

TM: Parmi les nouvelles attractions du jeu, il y a justement Nadal qui vous a battu dans cette finale à Séville, malgré un bon match de votre part. Que pensez-vous de lui?

AR: Maintenant, on dit que j'ai fait un bon match. Mais sur le moment, j'entendais plutôt: mais comment a-t-il bien pu se faire battre par un gamin de 18 ans? Tout le monde sait désormais à qui j'ai eu affaire. La première chose, c'est qu'il est très fort mentalement. Par ailleurs, si vous regardez des photos de moi, ou de Roger par exemple, quand nous avions 18 ans, on était plutôt maigrichons, pas du tout mûrs physiquement. Nadal, il est déjà comme un cheval (Razz). Oui, aussi costaud qu'un cheval! C'est terriblement impressionnant de le voir aussi solide à cet âge. Ça l'aide beaucoup, c'est sûr.

TM: Au même âge, nous avons aussi Gasquet, autre ''curiosité'' du jeu. Vous le connaissez également?

AR: Oui, il est extrêmement talentueux. Il a ressenti une énorme attente autour de lui il y a deux ou trois ans. Mais ils étaient nombreux aussi, à prévoir ce qui allait arriver, c'est-à-dire une période d'apprentissage. Jouer sur le circuit, sur des centraux bourrés de monde contre des joueurs expérimentés, c'est terriblement difficile quand on a 16 ans. Là, c'est comme si il effectuait un retour. Il est l'objet de la même attention, mais il a beaucoup appris et le talent est toujours là. Comme s'il avait une seconde chance en fait, à seulement 18 ans. Je suis sûr que pour lui, le meilleur est à venir. Very Happy

TM: Il y a déjà une vague de jeunesse très prometteuse aux États-Unis, avec Donald Youg et Timothy Neilly. Les connaissez-vous?

AR: Oui, bien sûr. Je ne les ai pas beaucoup vus jouer chez les juniors. Mais je sais qu'ils ont un gros potentiel. Cela dit, j'ai peur que Young ne connaisse la même épreuve que Gasquet, qu'il suscite vite trop d'engouement, trop d'impatience. Donald n'est pas encore très fort physiquement mais il un talent énorme. Avec de bonnes mains, comme les joueurs français. J'espère qu'il va se développer normalement, mais nous avons la chance de l'avoir, c'est sûr...

TM: À Rome, contre Verdasco, vous avez perdu après un changement de décision alors que l'arbitre vous avait presque attribué la victoire. Que s'est-il passé exactement?

AR: On a fait une grosse histoire avec ça, alors que franchement, elle ne le mérite pas. D'Abord, l'arbitre n'a pas dit ''jeu, set et match, Roddick''. Il a dû s'arrêter en cours de phrase car Verdasco a tout de suuite contesté le jugement ''out'' de son deuxième service et moi aussi j'ai dit: attendez. Nous avons regardé, la balle était bonne. Il était donc normal de continuer le match. Je pense que Verdasco aurait fait comme moi. Je ne me vois pas réagir autrement dans un cas comme celui-là. Je veux être capable de me regarder dans la glace. Very Happy

TM: Il n'est pas si évident de penser que tous les joueurs réagiraient comme vous...

AR: Ce n'est pas à moi de le dire, c'est éventuellement à vous. Je ne veux d'ailleurs pas me poser cette question, je ne sais pas comment se comporterait untel ou untel. Je sais simplement, pour ce qui me concerne, ce qui me paraît bon et ce qui me paraît mauvais. Si l'on oubli qu'il s'agit d'une balle de match, c'est seulement un joueur qui demande à l'arbitre de venir vérifier une marque, rien d'autre...

TM: Revenons à Wimbledon. Qu'appréciez-vous là-bas en premier lieu?

AR: Wimbledon, c'est d'abord du sentiment, des émotions. Il suffit de marcher dans les allées pour les ressentir. On a en tête les photos en noir et blanc, le poid du passé. Toutes ces traditions, comme le tenant du titre qui ouvre le tournoi le premier lundi, renforcent le caractère exceptionnel de l'endroit. Je pense que c'est bien de ne pas abandonner ces traditions. Wimbledon, c'est ça.

TM: Il est admis que le Centre Court constitue, par les repères qu'il offre, un endroit prévilégié pour les grands serveurs. Vous êtes d'accord?

AR: Oui, évidemment. Mais c'est plutôt parce que, historiquement, le gazon avantage les gros serveurs. Il est vrai que l'atmosphère intimiste du central, avec ses tribunes ouvertes qui protègent le court du vent, aide à se concentrer. Cela dit, je ne crois pas que le court favorise l'exécution du service plus que celle d'un autre coup.

TM: Quels souvenirs d'enfance vous laisse Wimbledon?


AR: Je me souviens de ma mère venant me réveiller pour que je regarde la finale. J'avais beaucoup aimé les trois finales de suite entre Becker et Edberg. Et en 1992 la victoire d'Andre qui remportait son premier titre du grand chelem en battant Ivanisevic en 5 sets. Et peut-être LE grand moment d'entre tous, ce fut quand Pete gagna son 7e titre et record des victoires en grand chelem. C'était magique, le solei se couchait et venait éclairer le court d'une chaude lumière. C'était la perfection. Que de beaux souvenirs, en effet... Et quand on en parle, je trouve encore plus chouette d'avoir déjà pu y disputer une finale et d'avoir eu une chance de remporter le titre. Nous allons voir la suite. (La suite qui est une victoire dimanche prochain Very Happy)

.......

Je donnerai mes commentaires impertinants demain, parce que là, j'en ai marre d'écrire!!!!!! Razz
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*MissJessou*
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MessageSujet: Re: Entrevue avec Andy du tennis magazine!   Entrevue avec Andy du tennis magazine! Icon_minitimeMer 29 Juin 2005 - 0:48

OH MY! Zazou! Merci! Tu es si gentille! :heart: :heart: :heart:
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Zazou
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MessageSujet: Re: Entrevue avec Andy du tennis magazine!   Entrevue avec Andy du tennis magazine! Icon_minitimeMer 29 Juin 2005 - 0:50

*MissJessou* a écrit:
OH MY! Zazou! Merci! Tu es si gentille! :heart: :heart: :heart:
Ça me fait plaisir Very Happy
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Theo
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MessageSujet: Re: Entrevue avec Andy du tennis magazine!   Entrevue avec Andy du tennis magazine! Icon_minitimeMer 29 Juin 2005 - 1:32

J'aime bien la dernière publicité ou l'ont voit Andy
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WuMiE
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MessageSujet: Re: Entrevue avec Andy du tennis magazine!   Entrevue avec Andy du tennis magazine! Icon_minitimeMer 20 Juil 2005 - 0:52

Merci Zazou d'avoir prit le temps de tout taper ça Very Happy
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MessageSujet: Re: Entrevue avec Andy du tennis magazine!   Entrevue avec Andy du tennis magazine! Icon_minitime

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